Avant, je me laissais facilement distraire : j'ouvrais une tâche, je vérifiais mon courrier électronique, je passais à une vidéo, puis quelqu'un m'écrivait dans Messenger — et voilà qu'une demi-heure s'écoulait sans que je n'aie rien fait. J'ai décidé d'être stricte et de commencer par une chose simple : noter le nombre de fois où j'ai été distraite en une heure. Les premiers jours, j'ai été choqué par les chiffres. Mais j'ai compris qu'il y avait un problème et qu'il était possible de le suivre.
Des petits pas et un système de récompenses
Je n'ai pas immédiatement mis en place un programme rigide. J'ai commencé par limiter les stimuli externes : j'ai supprimé les notifications, coupé le son et commencé à travailler avec des écouteurs. La première semaine, j'ai effectué de courtes périodes de travail de 25 minutes chacune, puis j'ai fait une pause. J'ai ensuite augmenté cette durée à 40, puis à 50 minutes. Je me suis ainsi progressivement entraîné à rester concentré sans interruption.
Pour ne pas avoir l'impression de ne faire que travailler, j'ai inventé un système de récompenses. Par exemple, après une série de tâches accomplies avec succès, je me repose pendant 20 minutes. Parfois je me promène, parfois je lis, et parfois je vais sur https://boomsbet.fr — non pas pour rester bloqué pendant un long moment, mais juste comme un élément de commutation. Ce type de relaxation fonctionne mieux que les médias sociaux — il n'y a pas de bruit d'information, il y a un moment de jeu et de distraction.
Des habitudes qui fonctionnent vraiment
Le plus difficile est de tenir bon. Un jour, vous pouvez rassembler votre volonté dans votre poing, mais il est plus important de recommencer le lendemain. J'ai créé un simple carnet de suivi des habitudes dans lequel je marque chaque jour : j'ai travaillé dans les temps, je ne me suis pas laissé distraire, j'ai fait des pauses. Cela peut sembler anodin, mais on peut constater visuellement les progrès accomplis et on ne veut pas briser la chaîne.
J'ai également commencé à planifier ma journée à l'avance : le soir, j'écris 3 à 5 tâches pour le matin. Le matin, je ne gaspille pas d'énergie à essayer de décider quoi faire — je commence tout simplement. Cela permet de gagner beaucoup de temps et d'éliminer le moment de «léthargie» au début de la journée de travail.
Lorsque je me rends compte que la productivité diminue, je prends une journée de silence. Pas de tâches, pas d'attentes, pas de projets. Cela m'aide à ne pas m'épuiser.
Cela fonctionne parce que je n'en fais pas trop
Il est important de ne pas faire de la productivité un culte. Il y a des jours où rien ne va, et c'est normal. L'important est de ne pas rester bloqué. Faire une pause fait partie du processus, ce n'est pas un échec. J'apprends à l'accepter et à m'accorder une pause sans culpabilité.
Les récompenses ne sont pas un mal. L'essentiel est qu'elles soient dosées et qu'elles ne gâchent pas le rythme. Pour moi, jouer quelques tours fait partie du régime, ce n'est pas de la procrastination. Si cela permet de maintenir l'élan, alors cela fonctionne.